Aujourd’hui nous disposons d’une politique familiale efficace, d’un accès aux soins de bonne qualité et d’un financement des pensions de retraite permettant à un grand nombre de retraités d’échapper à la pauvreté. Il faut défendre notre modèle social basé sur la solidarité. Le haut niveau de prélèvements obligatoires peut être admis à la seule condition de ne pas créer de déficit.
Le débat actuel sur les prélèvements obligatoires ne doit pas conduire à une perte de confiance de notre modèle de protection sociale.